Depuis l’invention du cinéma, les modèles Mercedes-Benz ont toujours joué les (premiers) rôles dans de nombreux films d’action, de polars et de comédies. Et au Zurich Film Festival (ZFF), ce sont eux qui conduisent les stars du milieu devant le tapis vert, et ce, sans émission de CO₂ et en toute sécurité.

22 Juin 2022

Lorsque le commissaire Kägi sillonne les vallées enneigées dans Wilder, il compte sur sa Classe G. Et si vous regardez la deuxième saison de Neumatt, vous y découvrirez un EQA entièrement électrique. Toutefois, les modèles à l’étoile jouent régulièrement des rôles de premier plan, non seulement à la télévision suisse, mais aussi dans Tatort et à Hollywood.

Des frères Lumière et Chaplin...
Le 29 janvier 1886, Carl Benz a déposé un brevet pour son «véhicule à moteur à gaz». Environ deux ans plus tard, le Français Louis Le Prince a réalisé le premier film au monde. Le cinéma et le véhicule datent donc de la même époque, et ils partagent depuis leur invention une longue histoire commune.

Dès 1896, les frères Lumière tournent le film Voitures Automobiles, dans lequel on peut voir des scènes d’une course automobile reliant Paris à Marseille. Une décennie plus tard, les courses-poursuites cinématographiques en automobile sont devenues monnaie courante et le véhicule occupe une place de plus en plus importante à l’écran. Charlie Chaplin, par exemple, utilisait une prestigieuse Mercedes-Benz Type 400 dans Le Dictateur (1940), Grace Kelly et Frank Sinatra conduisaient une Mercedes-Benz 190 SL dans Haute Société en 1956 et dans Driver (1978), Ryan O’Neal, conducteur professionnel de véhicules utilisés pour la fuite, traversait l’écran à toute vitesse au volant d’une Mercedes-Benz 250 S rouge orangé.

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